De l’ambition. Des objectifs ambitieux, atteignables,
Une capacité à aller plus loin avec ses actifs [talents, sites de production, parts de marché]

Une vision internationale. Une conversion totale s’est exercée, la limite de pays ou de métier n’a plus d’horizon.
Le Next 40, apporte cette grande vague rafraichissante d’entrepreneurs qui voient le monde comme terrain de jeu.

Sortir de sa zone de confort/ C’est mon leit motiv. On est toujours surpris par de la capacité à aller bien au-delà de ce qu’on croit sa zone de confort.
Certes son plan est très bien préparé avec raison, diligencé en profondeur analysant chaque composante du marché, pays, métier, positionnement mais il demeure une part de risque qu’au fond de lui il peut prendre.

Ne pas écouter, notamment en France, votre entourage va toujours vous expliquer de bonnes raisons pour ne pas le faire, avec d’excellents arguments et des cerveaux bien faits.

Honnêteté dans l’analyse de son bilan. On ne peut tout réussir ; sortir de sa zone de confort c’est aussi accepter de réviser son plan en permanence, soit la direction, la décision elle-même, dans un process de test & learn.
En France, voire même en Europe, on a toujours une approche très visionnaire, très encadrée, sur plusieurs années ; tout est toujours très pesé, très stratégique et on met du temps à prendre des décisions.
Aux USA, on a moins peur, il y a plus de détente, la réactivité est possible même pour l’arrêt du projet.
On devrait se laisser porter par plus d’entrepreneuriat, une adaptation permanente, avec un point d’atterissage clair ; on y gagnerait beaucoup.